15 septembre 2020
Samedi 12 septembre, l’Ecosystème Darwin (Bordeaux) a été la scène de la première conférence-procès pour les droits de la nature et des peuples autochtones, un procès-simulé né de la collaboration entre étudiants en droit, associations guyanaises et métropolitaines et experts, au sein du programme Wild Legal.
Sur le banc des accusés : l’Etat français, attaqué en justice pour carence fautive dans la lutte contre l’orpaillage illégal. Face à lui : les organisations de défense du peuple autochtone wayana et des écosystèmes amazoniens de Guyane.
À la barre, les experts Alexis Tiouka, juriste en droit des peuples autochtones, Valérie Cabanes, juriste internationaliste, experte du crime d’écocide et Jean-Pierre Havard, humanitaire engagé pour la santé du peuple wayana ont éclairé les débats.
💻🌏 Voir la version longue :
🌿 La tribune dans Le parisien:
Tant que l’arbre, n’aura pas de statut juridique il ne sera pas protégé.
#Petition pour la Déclaration Universelle des Droits de l’Arbre #DUDA #UDTR
et la #ConventionInternationaledesDroitsdelArbre #CIDA – #ICTR
Parce que l’Arbre est la base de tout l’écosystème terrestre.
Parce que l’Arbre c’est la Vie.
SIGNEZ LA PÉTITION
PRENEZ CONNAISSANCE DE LA CONVENTION
#climateAction #humanAlarm #HarmonyWithNature
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