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La forêt amazonienne pourrait disparaître en moins de 50 ans

La forêt amazonienne pourrait disparaître en moins de 50 ans
Une étude publiée mardi annonce une fin plus précoce que prévu de plusieurs grands écosystèmes, comme la forêt amazonienne, rapporte CNN.

À ceux qui espéraient que le « poumon vert » de la planète avait encore le temps d’être sauvé, une étude publiée mardi dans la revue Nature Communications oppose un dur retour à la réalité. Selon ces travaux, rapportés par CNN, les grands écosystèmes de la planète, et donc la forêt amazonienne, sont plus menacés que ce qu’établissaient jusqu’alors les prédictions.

Le plus grand réservoir de biodiversité au monde, à cheval sur neuf pays d’Amérique du Sud, pourrait même s’effondrer en 49 ans une fois qu’il aura atteint son point de basculement, selon ces prévisions. Une étape dont il est toutefois difficile de déterminer l’imminence, même si certains chercheurs l’estiment « à portée de main », comme c’est le cas de Thomas Lovejoy et Carlos Nobre, respectivement professeur à l’université George-Mason, en Virginie, et chercheur à l’université brésilienne de São Paulo.

Grande de 5,5 millions de km², la gigantesque forêt tropicale n’en est donc pas moins à l’abri : en proportion, conclut la recherche publiée mardi, les grands écosystèmes pourraient disparaître plus rapidement que leurs équivalents plus petits, justement en raison de leur taille. L’étude s’est penchée sur les effondrements passés qu’ont connus 42 écosystèmes – 4 terrestres, 25 marins et 13 d’eau douce – répartis sur cinq continents et dont les dimensions sont très variables.

42 écosystèmes étudiés

À titre d’exemple, les récifs coralliens au large de la Jamaïque ont périclité en 15 ans seulement. Il n’en reste plus aujourd’hui qu’un écosystème dominé par les algues. « Nous devons nous préparer à des changements dans les écosystèmes de notre planète qui sont plus rapides que ce que nous avions envisagé », résume John Dearing, professeur de géographie physique à l’université de Southampton, et directeur de l’étude.

Notons tout de même les réserves de plusieurs scientifiques quant aux travaux publiés dans Nature Communications. Erika Berenguer, chercheuse brésilienne associée à l’université d’Oxford et de Lancaster, pointe par exemple le faible nombre d’écosystèmes terrestres dans les précédents étudiés. De surcroît, parmi ceux-ci, aucun n’était une forêt tropicale. Si Erika Berenguer estime qu’« il ne faut aucun doute que l’Amazonie est en grand danger et qu’un point de basculement est probable », elle juge aussi « improbable de s’attendre à ce qu’une zone moitié de la taille de l’Europe connaisse un changement complet de végétation en seulement 50 ans ».

Article: https://edition.cnn.com/2020/03/10/americas/ecosystems-collapse-amazon-climate-intl/index.html

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