Toute décision sur l’exploitation des ressources de la réserve est prise en commun entre les habitants et l’Institut, qui leur offre également des formations.

Certains ont par exemple appris à vivre de l’éco-tourisme.

Très prisé des touristes étrangers, l’hôtel Uakari, fondé par l’Institut Mamiraua et installé sur une construction flottante, a dégagé 2,5 millions de réais (550.000 euros) de chiffre d’affaire annuel en moyenne ces trois dernières années.

Les bénéfices sont destinés à 40% à la surveillance du site et à l’association des guides de tourisme. Le reste est réparti entre les habitants.