Alienum phaedrum torquatos nec eu, vis detraxit periculis ex, nihil expetendis in mei. Mei an pericula euripidis, hinc partem.

2019 : niveau record des feux de forêt dans le monde

2019 : niveau record des feux de forêt dans le monde :

Le Service pour la surveillance de l’atmosphère de Copernicus (CAMS) surveille l’intensité et les émissions des feux de forêt dans le monde. Les scientifiques révèlent que 2019 a été une année exceptionnellement active.

Le CAMS révèle qu’environ 6.375 mégatonnes de CO2 ont été rejetées dans l’atmosphère entre le 1er janvier et le 30 novembre 2019. Nombre d’entre eux ont fait la une des journaux du monde entier, notamment les incendies en Amazonie, les incendies en Indonésie, les feux de forêt dans l’Arctique et les feux de brousse en Australie. Mais certains incendies moins connus ont également eu des effets importants sur l’environnement et la qualité de l’air, notamment en Colombie, au Venezuela, en Syrie et au Mexique. Cette année, le CAMS met en lumière cinq incendies distincts :

Feux en Syrie

Des incendies en Syrie ont brûlé de vastes étendues de terres cultivées au printemps et au début de l’été, ce qui a donné lieu à des inquiétudes quant à l’insécurité alimentaire. Bien que certains incendies soient apparus près des lignes de front alors actives, des feux de forêt ont également été signalés dans plusieurs autres régions du pays, y compris des champs de blé et d’orge dans la province fertile de Hassakeh.

Feux de forêts dans les cercles Boréal et Arctique

À partir de juin 2019, les feux de forêt du Cercle polaire arctique ont été sans précédent en termes d’emplacement, d’ampleur et de durée, entraînant le rejet de 182 mégatonnes de dioxyde de carbone dans l’atmosphère. Ces incendies se sont produits dans tout le cercle polaire arctique dans la République de Sakha en Sibérie et en Alaska pendant une période prolongée entre juin et août. Les scientifiques du CAMS ont surveillé plus de 100 feux de forêt dans la région, principalement causés par des conditions exceptionnellement chaudes et sèches dans la région.La saison typique des feux de forêt dans les forêts boréales et le cercle polaire arctique se situe entre mai et septembre, mais il était inhabituel de voir autant de feux de cette ampleur et de cette durée dans le cercle polaire en juin.

Feux de forêt en Indonésie

Les feux de forêt dévastateurs en Indonésie ont été l’un des incidents les plus intenses depuis près de deux décennies. On estime que les incendies indonésiens qui ont débuté en août ont libéré au moins 708 mégatonnes de CO2 jusqu’à la fin novembre 2019. Les incendies ont été principalement causés par la combustion de tourbières riches en carbone et par des conditions plus sèches que la moyenne. Ce qui ressort également, c’est que l’intensité quotidienne totale des feux est supérieure à la moyenne des 16 dernières années. Des milliers de kilomètres carrés de terres importantes sur le plan écologique ont été brûlés, provoquant un brouillard toxique, menaçant la santé de la population locale ainsi que les forêts naturelles et la faune. Heureusement, l’intensité des incendies et le volume des émissions ont commencé à diminuer en octobre et sont tombés à 48 mégatonnes de CO2 durant les deux premières semaines de novembre. La raison en était la pluie dans le sud du Kalimantan jusqu’en octobre, bien que certains incendies aient continué dans le sud de Sumatra.

Feux de brousse australiens dans le Queensland et la Nouvelle-Galles du Sud

Les feux de brousse australiens, qui ont commencé en septembre et se sont intensifiés au début de novembre, étaient sans précédent dans certaines régions par rapport aux 16 années précédentes, causant des problèmes généralisés de qualité de l’air. La Nouvelle-Galles du Sud a été la plus touchée, de même que le Queensland où le jour a été transformé en nuit dans certaines régions. La fumée a ensuite été transportée au-delà de la Nouvelle-Zélande et de l’océan Pacifique Sud, jusqu’en Amérique du Sud. De très fortes concentrations de particules ont amené un certain nombre de régions australiennes à déclarer l’état d’urgence.

Incendies en Amazonie

D’énormes panaches de fumée couvrant des millions de kilomètres carrés ont été observés sur des images satellitaires provenant d’incendies à travers l’Amazonie occidentale. Une grande partie de la fumée des incendies en Amazonie, en Rondonie et à Mato Grosso au Brésil, ainsi que dans le département de Santa Cruz en Bolivie, a pu parcourir de longues distances. Comme pour tout feu de végétation, les émissions causent de multiples typologies de pollution atmosphérique et de particules, ce qui affecte grandement la qualité de l’air. En particulier, Sao Paolo a été affectée par les émissions de fumée dues à un changement dans la circulation atmosphérique lorsque les vents du nord-ouest l’ont transportée vers la ville et jusqu’à la côte atlantique. En plus d’avoir un impact sur la santé humaine, les incendies ont eu un impact sur les trois millions d’espèces végétales et animales connues dans la région. L’impact sur le cycle du carbone des incendies de cette ampleur dans la région est une préoccupation majeure en raison de la perte de la forêt tropicale humide et d’un changement dans la végétation.

 Source : Communiqué de Copernicus

#Petition pour la Déclaration Universelle des Droits de l’Arbre #DUDA #UDTR et la #ConventionInternationaledesDroitsdelArbre #CIDA#ICTR
🌳 Parce que l’Arbre est la base de tout l’écosystème terrestre.
🌳 Parce que l’Arbre c’est la Vie.
🌳 SIGNEZ LA PÉTITION:
#climateAction #humanAlarm #HarmonyWithNature 

Visits: 48