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«Il faut sauver le garde forestier ONF», par David Caillouel

Le président du Syndicat des exploitants de la filière bois (SEFB) plaide pour que l’Office national des forêts revienne à ses métiers fondamentaux sans vouloir se lancer de façon hasardeuse dans des activités relevant du domaine privé.

Les dysfonctionnements internes et externes de l’Office national des forêts menacent – avec des pertes annuelles récurrentes de 50 millions d’euros et un passif cumulé de 360 millions – son existence même. Inquiets de leur persistance, le gouvernement, d’un côté, et le groupe d’études « bois et forêt » du Sénat, de l’autre, ont lancé une mission interministérielle et un rapport parlementaire pour tenter de sauver notre garde forestier national.Voilà plusieurs années que les exploitants forestiers, acheteurs au quotidien des 11,9 millions de m3 que commercialise cet établissement public, ont alerté les pouvoirs publics sur la chronique d’une mort annoncée, sans être entendus.A la création de l’ONF en 1964, ses missions de service public répondaient à un triple besoin : la pérennité des forêts publiques à travers la sylviculture, l’entretien de nos forêts à travers le débroussaillage afin de favoriser leur repeuplement naturel, et enfin l’organisation de ventes publiques pour optimiser la valorisation de la ressource. Mais cette vieille dame vénérable a succombé à une double tentation.D’abord, elle s’est lancée, pour combler ses pertes, dans des activités relevant du domaine privé – régie et gestion forestière ou encore bois-énergie – pour lesquelles elle n’a ni la culture entrepreneuriale nécessaire, ni les ressources humaines suffisantes ou adaptées. Ensuite, elle a entrepris de réglementer, à la demande de la Fédération nationale du bois, la commercialisation des chênes issus des forêts publiques mais également privées (qu’elle ne commercialise pas).

« ​Si un retour de l’ONF à ses seuls fondamentaux n’intervient pas d’urgence, l’ensemble de la filière bois se trouvera menacé et son développement harmonieux compromis »

Source et suite de l’article : «Il faut sauver le garde forestier ONF», par David Caillouel – Economie | L’Opinion

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