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Convention Internationale des Droits de l’Arbre

Considérant que tant du maintien à son niveau actuel que de l’accroissement substantiel du couvert arbustif dépend la survie de l’Humanité ;

Reconnaissant en outre le rôle irremplaçable de l’arbre comme pourvoyeur de services écosystémiques, son importance dans le cycle de l’eau et du carbone et comme obstacle à l’érosion, sa place cruciale pour la biodiversité, son intérêt sanitaire en ce qu’il réduit la minéralisation d’espaces urbanisés qu’il végétalise, et en ce qu’il atténue le bruit, purifie l’air et capte les poussières ainsi que sa fonction culturelle, paysagère, voire historique ;

Considérant les particularités de l’exploitation forestière, des plantations, des pépinières et de l’arboriculture professionnelles ;

Considérant l’urgence vitale qu’il y a à agir ;

Considérant que la plantation d’arbres et le soin à leur apporter constituent des activités solidaires et motivantes pouvant être confiée en outre aux forces de sécurité en temps de paix mais aussi aux personnes sans emploi, dont l’insertion sociale serait améliorée, et aux jeunes dans le cadre d’un service civil ;

Considérant l’importance des haies pour le paysage et la biodiversité et la nécessité de conserver des halliers et buissons denses ;

Ayant aussi pris conscience de l’importance décisive des champignons dans la symbiose qui les lie aux arbres ;

Considérant, sur le plan philosophique enfin, que l’arbre est un être vivant qui ne peut être réduit à un simple objet ou à sa seule utilité économique ;

Ont convenu de ce qui suit :

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